
Une étude de l’association Foodwatch lève un voile peu reluisant sur les pratiques de la grande distribution. Les promotions sont surtout le fait de produits alimentaires trop gras, trop sucrés, trop salés.
Une étude à lire ici.
Une étude portant des données de 2021 fait le point sur le suivi par la population des recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS) : 4 personnes sur 5 ne mangent pas assez de fruits et légumes par jour. Et à l’inverse, nombreuses sont celles qui consomment trop de boissons sucrées.
Les différences de genre, de diplôme, de lieu de résidence (taille de l’agglomération) jouent dans ces disparités.
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Source : Le Téléphone sonne, émission du 15 avril 2025.
A la suite de la parution d’un article dans Le Monde du 14 avril 2025, trois médecins tirent la sonnette d’alarme et pointent la responsabilité de l’industrie agro-alimentaire dans l’élévation du surpoids et de l’obésité.
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Un rapport alarmant de la FAO évalue les coûts sanitaires liés aux mauvaises habitudes alimentaires à 8 000 milliards de dollars par an !
Le rapport est ici.
Face à l’augmentation du nombre de seniors en France, les pouvoirs institutionnels multiplient les initiatives pour répondre à ce défi. Ce mémoire examine les leviers développés par l’association Les Insatiables. Un diagnostic territorial de la situation des seniors en Nouvelle-Aquitaine, en particulier en zones rurales, permet d’analyser les différentes formes de sensibilisation, leur répartition et leur mise en œuvre.
Les discussions avec les acteurs locaux et le travail de terrain font émerger des solutions concrètes. Une évaluation de la pertinence de certaines actions, dans le contexte d’une Silver Economy en plein essor et de la privatisation du secteur, oblige à interroger la durabilité de ce système.
De plus en plus de collectivités locales s’engagent dans des projets alimentaires territoriaux pour promouvoir une alimentation durable. Ce mémoire analyse l’efficacité des politiques de sensibilisation à l’alimentation responsable à travers l’exemple du Défi Alimentation Positive dans le Cœur Entre-deux-Mers. En se basant sur des observations, des entretiens, des questionnaires, de la cartographie et des analyses, il explore comment les différentes échelles de gouvernance, de la commune au Pôle Territorial, peuvent collaborer pour tenter de surmonter les obstacles et maximiser l’impact de leurs initiatives sur la communauté. Les résultats montrent les forces et les faiblesses de ces actions et suggèrent des pistes pour renforcer la coordination, l’engagement et l’adaptabilité des politiques alimentaires locales, afin de favoriser une transition durable et inclusive.
Ravi de participer aux côtés de ma collègue Magalie Fleurot (UBM) au festival Slow Bread.
Merci aux organisateurs et organisatrices pour cette invitation, merci à Bartolo Calderone (École Professionnelle de Pizza et Panification Naturelle ; Slow Food Bordeaux).
Selon un rapport publié par le Programme des Nations unies pour l’environnement, chaque habitant de la planète aurait jeté l’équivalent de 79 kilos d’aliments. Aurait, car le gaspillage est effectué tout au long de la chaîne de production, puis de distribution enfin de consommation.
Toujours est-il que le gaspillage tourne à la véritable gabegie. L’équivalent d’un milliard de repas est jeté chaque jour. Les effets sont dramatiques sur l’environnement ou la sécurité alimentaire.
Lien du rapport : cliquez ici
Quelques éléments clés de l’étude :
Une géographie qui ne tient ni au niveau de développement ni à des différences Nord-Sud ou Est-Ouest. Et de ce fait sans doute à des pratiques culturelles, d’éducation, ou d’équipement…
Dans une analyse qui vient de paraître, l’ANSES constate une présence très impressionnante du sucre dans nos aliments.
Celle-ci a étudié de 2008 à 2020 la composition de plus de 50 000 aliments transformés, sucrés et salés, pour évaluer la fréquence à laquelle ils contiennent des ingrédients sucrants : saccharose, édulcorants – comme l’aspartame -, sirops, jus de fruits, etc.
Le résultat est implacable : même les charcuteries contiennent du sucre !
Même s’il y a un déclin de l’utilisation des ingrédients sucrants au cours des années précédentes, les deux-tiers des aliments (77 %) en comportent encore au moins un.
Nous sommes drogués au sucre. Sucre dont on connaît le fort pouvoir addictif, au point pour certain.e.s chercheur.e.s de le comparer à la cocaïne.
Lien vers le rapport de l’ANSES : cliquez sur l’image.
La FAO vient de publier un rapport alarmant : le dérèglement climatique accélère les inégalités entre sexes, entre catégories sociales et entre générations.
À partir d’un ensemble données provenant de 24 pays à revenu faible ou intermédiaire dans cinq régions du monde, les effets du changement climatique sur les femmes, les jeunes et les personnes vivant dans la pauvreté en milieu rural sont analysés.